• L'autre jour, j'ai regardé Spartacus en Film et j'ai aimé alors je fais part de la biographie

     

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    Spartacus

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    Spartacus, statue de Denis Foyatier, 1830

    Spartacus est un esclave et un gladiateur thrace. Il dirige la Troisième Guerre servile en Italie du Sud entre -73 et -71.

    Les détails de cette révolte d'esclaves sont bien connus, par un chapitre de l'historien romain Florus dans son Abrégé d'Histoire romaine, repris dans les Guerres civiles de l'historien grec Appien. Un autre historien romain, Eutrope, en a fait un bref résumé au IVe siècle dans son Abrégé d'histoire romaine.

    Son histoire est devenue célèbre pour le grand public grâce au film scénarisé par Dalton Trumbo commencé par Anthony Mann et terminé par Stanley Kubrick réalisé en 1960.

    Sommaire

    [modifier] Vie avant la révolte

    Article détaillé : Troisième Guerre servile.

    Né peut-être vers -100, Spartacus est un Thrace de naissance libre, originaire de la tribu des Maides, installée dans le sud-ouest du pays, près du fleuve Strymon, selon Plutarque.

    S'il n'a pas été rebaptisé par un maître, Spartacus peut correspondre à un patronyme thrace — « Spartokos » ou « Spardokos » — et au nom d'une ville de Thrace, Spartakos. La plupart des sources antiques en font un berger, mais certaines affirment qu'il appartient à une famille princière[1].

    Appien indique sans grande précision que Spartacus a servi dans une légion, qu'il a été fait prisonnier de guerre et vendu. On peut supposer qu'il ait été enrôlé de force comme auxiliaire, et qu'il soit un déserteur repris et vendu comme gladiateur. Conduit à Rome pour y être vendu, il est acheté par un laniste (marchand de gladiateurs), Caius Cornelius Lentulus Vatia, qui l'emmène dans son école à Capoue[1]. D'après Plutarque, sa femme, qui est « originaire de la même tribu que lui » et « devineresse sujette aux transports dionysiaques », l'accompagne à Rome quand il est vendu, puis durant la révolte[2]. Prêtresse de Dionysos, elle peut avoir joué un rôle important dans le déclenchement de la révolte[1].

    [modifier] La rébellion des esclaves

    À l'été -73, 200 gladiateurs de l'école de Lentulus Battiatus complotent pour retrouver la liberté, mais sont dénoncés. Prenant les devants, entre 70[3] et 78 gladiateurs[4] réussissent à s'évader. Après s'être emparés de chariots transportant un stock d'armes destinées à une autre école de Capoue, ils ne se dispersent pas, mais traversent la Campanie en direction de la baie de Naples, où ils sont rejoints par de nombreux travailleurs agricoles — esclaves fugitifs et hommes libres — des latifundia et se réfugient sur les pentes du Vésuve. Trois hommes sont élus chefs, Spartacus, Crixus et Œnomaüs[5]. Spartacus, un parmularius (ou thrace) ou un mirmillon selon Florus[6], et ses compagnons parviennent à vaincre les quelques gardes régionales envoyées par la ville de Capoue et complètent ainsi une réserve d'armes. Pour subvenir à ses besoins, la petite armée commence à organiser des razzias sur les exploitations agricoles de la Campanie. Spartacus ne cesse alors d'attirer non seulement des esclaves, mais aussi des petits paysans et des bergers, formant ainsi une armée.

    L'armée servile bat alors 3 000 Romains commandés par le préteur Gaius Claudius Glaber‎ grâce à une ruse de Spartacus. En effet, ce dernier fuit le volcan où il était assiégé par un versant raide et avec l'aide d'échelles faites à partir de sarments de vignes. Dès lors, Spartacus rassemble de plus en plus de combattants. Rome ne le reconnaît pas en tant que menace et le sous-estime grandement. Les autorités romaines n'envoient d'abord que deux nouvelles légions dirigées par deux autres préteurs pour stopper sa rébellion. Les autres légions sont accaparées par la révolte de Sertorius en Hispanie et le conflit contre Mithridate VI en Orient.

    À ce moment, l'armée des esclaves se sépare. 30 000 hommes suivent le gladiateur Crixus en Apulie et le gros des troupes monte vers le nord par les Apennins. Tandis que Crixus est tué et que ses troupes sont massacrées lors d'un premier engagement vers le Mont Gargano, Spartacus vainc dans le Picenum les légions engagées contre lui et dirigées par le consul Lucius Gellius Publicola, soit 16 000 Romains mis en déroute. Pour venger la mort de Crixus, Spartacus organise des jeux funèbres durant lesquels 300 soldats romains faits prisonniers sont contraints de s'entretuer dans un combat de gladiateurs.

    Spartacus se dirige ensuite vers Modène dans la plaine du Pô, vainc l'armée du proconsul de Gaule cisalpine devant la ville et fait demi-tour vers le sud de l'Italie. Il vainc à nouveau les armées consulaires et s'installe à Thurii. De là, il commerce avec les peuples de la Méditerranée, fait des réserves d'armes, de bronze et de vivres. Il part ensuit pour le Rhegium. Son objectif est de passer en Sicile pour ranimer la Deuxième Guerre servile qui avait ravagé cette île en -100. Mais les pirates ciliciens, avec qui Spartacus avait passé un accord, le trahissent et Spartacus se trouve coincé à la pointe de l'Italie.

    Pendant ce temps, le Sénat romain confère à Crassus, riche et ambitieux, le commandement d'une armée de quatre légions. Crassus engage les opérations, et finance une armée supplémentaire composée de six nouvelles légions de vétérans sur ses deniers personnels. Il ne cherche pas à engager le combat avec l'armée de Spartacus, dont il se contente de contrecarrer les raids lancés dans un but de ravitaillement.

    Un de ses légats, désobéissant à ses ordres, attaque une partie des troupes de Spartacus avec deux légions (8 000 hommes), et subit un désastre. Pour faire un exemple et impressionner les esprits, Crassus n'hésite pas à remettre en usage un châtiment qui n'était plus pratiqué, celui de la décimation (un dixième du premier rang, principalement responsable de la déroute, furent donc fouettés puis exécutés).

    Crassus entreprend de bloquer Spartacus dans le Rhegium par une ligne de retranchements de 55 km de long. Spartacus réussit à forcer le blocus par une nuit de neige avec peu de visibilité. Mais il est poursuivi par l’armée de Crassus et subit quelques petites défaites. Installé dans le Bruttium, il vainc trois légions romaines. Ses hommes, échauffés par les dernières victoires, veulent battre définitivement l'armée de Crassus. L'affrontement a lieu en Lucanie et Crassus bat les révoltés. Avant la bataille, selon Plutarque, comme on lui amène son cheval, il égorge l'animal en disant : « Vainqueur, j'aurai beaucoup de beaux chevaux, ceux des ennemis ; vaincu, je n'en aurai pas besoin ». Puis il tente de se porter contre Crassus, mais ne peut l'atteindre et tue deux centurions qui l'attaquaient. Alors que ses compagnons prennent la fuite, encerclé par de nombreux adversaires, Spartacus meurt les armes à la main en -71[7]. Son corps ne fut jamais formellement identifié.

    La répression est sanglante : 6 000 esclaves sont crucifiés sur la Via Appia, entre Rome et Capoue. De plus, Pompée, entre-temps rappelé d'Espagne par le Sénat, massacre 5 000 esclaves en fuite dans le nord de l'Italie. À la fin, Pompée recevra les honneurs tandis que Crassus sera laissé dans l'ombre. Néanmoins, l'année suivante, ces deux hommes sont promus consuls alors qu'ils n'ont pas respecté le cursus honorum.

    Outre les qualités d'organisateur et de meneur que Appien prête à Spartacus, plusieurs raisons matérielles peuvent expliquer le succès initial et la durée de sa révolte :

    • L'insuffisance des premières forces romaines engagées contre lui, qui ne tiennent pas le choc contre ses troupes : au plus fort de ses batailles, l'armée de Spartacus comptera près de 120 000 combattants.
    • La situation politique (Rome intervenant sur d'autres fronts) qui freine une mobilisation plus efficace.
    • La situation sociale en Italie du Sud, région de grands latifundia (exploitations agricoles) exploitant durement des masses d'esclaves, qui purent se joindre à la révolte.
    • En revanche, Appien note l'isolement de Spartacus, aucune cité ne le soutenant, par crainte que la rébellion ne s'étende à leurs esclaves.

    [modifier] Retentissement

    [modifier] Politique

    Spartacus et son mouvement sont considérés par certains modernes comme le plus ancien événement de l'histoire du mouvement social, quoique ce ne soit pas le cas selon nos connaissances historiques (la révolte des esclaves de Sicile est antérieure, et la première grève d'ouvriers actuellement connue se situe en Égypte pharaonique). C'est en revanche celui qui a eu le plus d'écho.

    Le symbole reste fort et le mouvement de la gauche communiste allemande, ainsi que l'insurrection lancée par lui, prendront le nom de « spartakiste ».

    Karl Marx et Che Guevara étaient des admirateurs du personnage de Spartacus[8].

    [modifier] Cinéma et télévision

    Après un film muet des années 1910 du cinéma italien tombé dans l'oubli, plusieurs œuvres ont contribué à une large notoriété :

    [modifier] Littérature

    • 1939 : The Gladiators, Arthur Koestler. Traduction française, Spartacus, 1945 chez Aimery Somogy. Réédité depuis chez Calman-Levy
    • 1951 : roman de Howard Fast sur lequel est basé le film de Stanley Kubrick.
    • 1988 : Spartacus et la révolte des gladiateurs, Joël Schmidt, Mercure de France
    • 2003 : Spartacus est le nom du jeune « esclave révolté » du recueil de comic-strips intitulé La Petite Alice d'Anne-Marie Simond, Éditions du Héron.
    • 2004 : Spartacus, le gladiateur et la liberté, Gérard Pacaud, Éditions du Félin
    • 2005 : Les Romains, tome 1 Spartacus, révolte des esclaves, roman de Max Gallo, éd. Fayard.

    [modifier] Théâtre et ballet

    [modifier] Sport

    [modifier] Jeux vidéo

    • Spartacus est un des personnages du jeu de stratégie en temps réel Rome: Total War, sorti en 2004.

    [modifier] Divers

    • Spartakus (avec un « k ») est le nom d'un des héros du dessin animé français Les Mondes engloutis.

    [modifier] Notes et références

    1. a, b et c Catherine Salles, 73 av. J.-C., Spartacus et la révolte des gladiateurs, p. 8-9.
    2. Plutarque, « Vie de Crassus », VIII, Vies parallèles, Gallimard, coll. Quarto, 2001, p. 1014.
    3. Appien, Guerres civiles, I, 116.
    4. Plutarque, « Vie de Crassus », VIII, p. 1014.
    5. Catherine Salles, op. cit., p. 13-16.
    6. Catherine Salles, , op. cit., p. 10.
    7. Plutarque, Vie de Crassus, XI, p. 1018-1019.
    8. Karl Marx raconte à son ami Engels, dans une lettre du 27 février 1861:
      « [...] Pour me détendre, j'ai lu les Guerres civiles à Rome d'Appien. [...] On y voit que Spartacus est le plus splendide des hommes de l'histoire antique. Un grand général (pas comme Garibaldi), un noble personnage, vraiment représentatif du prolétariat de l'Antiquité. » (in « Letter from Marx to Engels In Manchester », 27 février 1861).
    9. Arthur Koestler sur L'Encyclopédie de L'Agora
    10. Spartacus (2004) sur IMDb

    [modifier] Bibliographie

    Auteurs antiques
    Auteurs modernes
    • Jean-Paul Brisson, Spartacus, Club Français du Livre, 1959
    • Maurice Dommanget, Spartacus, Spartacus, 1948
    • Max Gallo, Spartacus, la révolte des esclaves, Éditions Fayard, 2005
    • Jean Guiloineau, Spartacus, la révolte des esclaves, éd. Hors Commerce, Paris, 2005, roman historique
    • Benoît Malon, Spartacus ou la guerre des esclaves, 1873, inspiré par le parallèle entre la révolte des esclaves et la Commune de Paris. (rééd. par Jacques André éditeur 2008)
    • Claude Marle, Spartacus, Bayard, 2009
    • Marcel Ollivier, Spartacus: la liberté ou la mort!, Les Amis de Spartacus, 2001
    • Gérard Pacaud, Spartacus: le gladiateur et la liberté, Félin, 2004
    • Catherine Salles, 73 av. J.-C., Spartacus et la révolte des gladiateurs, Éditions Complexe, 2005
    • Plamen Pavlov, Stanimir Dimitrov,Spartak - sinyt na drenva Trakija/Spartacus - the Son of ancient Thrace. Sofia, 2009
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    VILLE DE CAEN - BASSE NORMANDIE

     

     

    Population Territoire Comparaison
    Population en 2007 673 664 1 461 417
    Densité de la population (nombre d'habitants au km²) en 2007 121,4 83,1
    Superficie (en km²) 5 547,9 17 589,3
    Variation de la population : taux annuel moyen entre 1999 et 2007, en % 0,5 0,3
    dont variation due au solde naturel : taux annuel moyen entre 1999 et 2007, en % 0,4 0,3
    dont variation due au solde apparent des entrées sorties : taux annuel moyen entre 1999 et 2007, en % 0,1 0,1
    Nombre de ménages en 2007 286 652 627 057
    Sources : Insee, Recensements de la population 2007 et 1999 exploitations principales.
    Population estimée au 1er janvier 2009 680 951 1 470 669
    Naissances domiciliées en 2009 8 304 16 783
    Décès domiciliés en 2009 5 986 14 283
    Sources : Insee, état civil - Estimations de population au 1er janvier.
    Logement Territoire Comparaison
    Nombre total de logements en 2007 374 286 802 003
    Part des résidences principales en 2007, en % 76,6 78,2
    Part des résidences secondaires (y compris les logements occasionnels) en 2007, en % 18,8 16,1
    Part des logements vacants en 2007, en % 4,6 5,7
    Part des ménages propriétaires de leur résidence principale en 2007, en % 55,7 58,8
    Source : Insee, Recensement de la population 2007 exploitation principale.
    Revenus Territoire Comparaison
    Revenu net déclaré moyen par foyer fiscal en 2008, en euros (1) 22 241 21 159
    Foyers fiscaux imposables en % de l'ensemble des foyers fiscaux en 2008 (1) 52,6 50,1
    Médiane du revenu fiscal des ménages par unité de consommation en 2008, en euros (2) 17 700 17 018
    Sources : (1) DGFiP, Impôt sur le revenu des personnes physiques. (2) Insee ; DGFiP, Revenus fiscaux localisés des ménages.
    Emploi - Chômage Territoire Comparaison
    Emploi total (salarié et non salarié) au lieu de travail en 2007 276 647 589 112
    dont part de l'emploi salarié au lieu de travail en 2007, en % 88,1 86,3
    Variation de l'emploi total au lieu de travail : taux annuel moyen entre 1999 et 2007, en % 1,4 1,1
    Taux d'activité des 15 à 64 ans en 2007 70,9 71,1
    Taux de chômage des 15 à 64 ans en 2007 10,9 10,3
    Source : Insee, Recensements de la population 2007 et 1999 exploitations principales.
    Nombre de demandeurs d'emploi de catégorie ABC au 31 décembre 2010 (1) 45 315 91 484
    dont demandeurs d'emploi de catégorie A au 31 décembre 2010 29 298 58 235
    Emploi total estimé au 31 décembre 2008 (2) 281 586 582 048
    Taux de chômage localisés au 4ème trimestre 2010 (3) 8,9 8,5
    Sources : (1) Pôle emploi; Dares, Statistiques du marché du travail.- (2) Insee, Estimations d'emploi (ESTEL).- (3) Insee, Taux de chômage localisés.
    Établissements Territoire Comparaison
    Nombre d'établissements actifs au 31 décembre 2008 52 699 120 860
    Part de l'agriculture, en % 16,1 24,9
    Part de l'industrie, en % 5,5 5,6
    Part de la construction, en % 9,0 8,3
    Part du commerce, transports et services divers, en % 54,7 47,3
    dont commerce et réparation auto, en % 16,3 14,8
    Part de l'administration publique, enseignement, santé et action sociale, en % 14,7 13,9
    Part des établissements de 1 à 9 salariés, en % 32,5 30,0
    Part des établissements de 10 salariés ou plus, en % 7,6 6,9

     


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